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« PROCHE-ORIENT, CE QUE PEUT LE CINEMA »
RETROUVE SON DEUXIEME SOUFFLE APRES 7 EDITIONS
Un mot de notre Déléguée générale Janine Halbreich-Euvrard
La manifestation parisienne « Proche-Orient, Ce que peut le cinéma », une biennale, a connu sa 7e édition en 2015. En tant que déléguée générale, j'ai débuté il y a 14 ans avec des films uniquement de Palestine et d'Israël. Dès la 2e édition, Carol Shyman est devenue une partenaire incontournable et très rapidement nous avons élargi le festival en incluant tous les pays du Moyen-Orient.
En 2016, nous avons décidé de décentraliser cet évènement tout en organisant des week-ends à Paris. « Proche-Orient, ce que peut le cinéma » a déjà été invité à Grenoble, à Lille et le 27 février 2017, en collaboration avec Ciné Palestine, nous étions à Toulouse. Nous serons également de nouveau au festival L'Acharnière à Lille début juin prochain avec des films iraniens.
À Paris les week-ends débutent en mars 2017 et comme toutes nos éditions précédentes, se tiendront au cinéma les 3 Luxembourg au cœur du quartier Latin. Les débats continueront à être orchestrés par Dominique Vidal, ancien rédacteur en chef du « Monde Diplomatique. »
Nous comptons proposer au public parisien de 6 à 8 week-ends qui seront pour lui l'occasion de découvrir en avant- premières les longs métrages avant leur sortie en salles et d'autres films négligés par la distribution traditionnelle. Par exemple, Je danserai si je veux (In Between) de Maysaloun Hamoud a fait salle comble et suscité un vif intérêt pour la génération de jeunes Palestiniens de Tel Aviv et des alentours.
« Proche-Orient, Ce que peut le cinéma » programme en avant-première un autre film sur la jeunesse palestinienne, Jonction 48 de Udi Aloni, réalisateur israelo-américain qui se présente comme juif palestinien. Nous lui donnons carte blanche le week-end du 7 au 9 avril. Les spectateurs découvriront donc trois autres de ses films, Local Angel, Forgiveness et Art/violence. Aloni est un habitué de la Berlinale, où Jonction 48 a obtenu en 2016 le prix du public dans la section Panorama.
Les séances seront en présence de Udi Aloni, du philosophe Alain Badiou et du journaliste Dominique Vidal.
Nous sommes heureux de vous annoncer aussi que notre livre "Israéliens, Palestiniens, les cinéastes témoignent" fait l'objet d'une réédition chez Riveneuve et sera disponible pendant nos week-ends en salle; nous espérons qu'une édition anglaise paraîtra dans le courant de l'été.
« PROCHE-ORIENT, CE QUE PEUT LE CINEMA »
RETROUVE SON DEUXIEME SOUFFLE APRES 7 EDITIONS
Un mot de notre Déléguée générale Janine Halbreich-Euvrard
La manifestation parisienne « Proche-Orient, Ce que peut le cinéma », une biennale, a connu sa 7e édition en 2015. En tant que déléguée générale, j'ai débuté il y a 14 ans avec des films uniquement de Palestine et d'Israël. Dès la 2e édition, Carol Shyman est devenue une partenaire incontournable et très rapidement nous avons élargi le festival en incluant tous les pays du Moyen-Orient.
En 2016, nous avons décidé de décentraliser cet évènement tout en organisant des week-ends à Paris. « Proche-Orient, ce que peut le cinéma » a déjà été invité à Grenoble, à Lille et le 27 février 2017, en collaboration avec Ciné Palestine, nous étions à Toulouse. Nous serons également de nouveau au festival L'Acharnière à Lille début juin prochain avec des films iraniens.
À Paris les week-ends débutent en mars 2017 et comme toutes nos éditions précédentes, se tiendront au cinéma les 3 Luxembourg au cœur du quartier Latin. Les débats continueront à être orchestrés par Dominique Vidal, ancien rédacteur en chef du « Monde Diplomatique. »
Nous comptons proposer au public parisien de 6 à 8 week-ends qui seront pour lui l'occasion de découvrir en avant- premières les longs métrages avant leur sortie en salles et d'autres films négligés par la distribution traditionnelle. Par exemple, Je danserai si je veux (In Between) de Maysaloun Hamoud a fait salle comble et suscité un vif intérêt pour la génération de jeunes Palestiniens de Tel Aviv et des alentours.
« Proche-Orient, Ce que peut le cinéma » programme en avant-première un autre film sur la jeunesse palestinienne, Jonction 48 de Udi Aloni, réalisateur israelo-américain qui se présente comme juif palestinien. Nous lui donnons carte blanche le week-end du 7 au 9 avril. Les spectateurs découvriront donc trois autres de ses films, Local Angel, Forgiveness et Art/violence. Aloni est un habitué de la Berlinale, où Jonction 48 a obtenu en 2016 le prix du public dans la section Panorama.
Les séances seront en présence de Udi Aloni, du philosophe Alain Badiou et du journaliste Dominique Vidal.
Nous sommes heureux de vous annoncer aussi que notre livre "Israéliens, Palestiniens, les cinéastes témoignent" fait l'objet d'une réédition chez Riveneuve et sera disponible pendant nos week-ends en salle; nous espérons qu'une édition anglaise paraîtra dans le courant de l'été.
Item posted : 26-01-2016 -- 18:30
Rideau sur le 7ème édition
Bien que "Proche-Orient, ce que peut le cinéma" se soit ouvert une semaine seulement après les tragiques évènements du 13 novembre 2015, notre 7è édition a connu un succès exceptionnel.
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Item posted : 26-01-2016 -- 18:00
En quête de sens
Vendredi 20 novembre. 20H15. Une semaine, seulement, après «le drame». Peu de monde dans la salle. Et puis, d'un coup, les spectateurs arrivent, doucement, mais surement. Rapidement, la petite salle des 3 Luxembourg se remplit, jusqu'à devenir complète.
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Item posted : 18-01-2016
Revue de Presse
Télévision, radio, la presse, les sites web, voici la revue de presse de la 7ème édition de « Proche-Orient , Ce que peut le cinéma » qui s'est déroulé du 20 novembre au 29 novembre 2015.
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Item posted : 24-10-2015
Débats/Conférence
Marque de fabrique de notre Biennale, les débats qui suivent les projections du soir sont indispensables pour remettre en contexte les opinions généralement dominantes du public, et les points de vues défendus par les films, pour ainsi enrichir l'expérience du festivalier.
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Item posted : 24-10-2015
Un premier aperçu
Nous voyagerons grâce à une grande variété de films, à travers toutes les régions du Moyen-Orient. Israël et la Palestine seront, comme chaque fois, au cœur de cet événement.
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Item posted : 23-10-2015
Logique de guerre, logique de paix
Jamais le Proche et le Moyen-Orient n'avaient connu un tel chaos : guerres civiles en Irak et en Syrie, bras de fer communautaire au Yémen, désagrégation de la Libye, "Intifada du désespoir" en Israël-Palestine, sans oublier les affrontements en Afghanistan…
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Item posted : 22-10-2015
Film d’ouverture – The Wanted 18
Pour notre soirée d'inauguration, Leila Shahid et Dominique Vidal seront présents pour débattre du thème suivant : Quels leviers peuvent apporter la paix au conflit israélo-palestinien ? à la fin de la projection du film Les 18 fugitives.
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Item posted : 21-10-2015
Film de clôture – Eyes of a Thief
Le second long-métrage de Najwa Najjar sera projeté samedi 28 novembre au soir, dans le cadre de la dernière soirée de débat, axée sur la Palestine – et la problématique de l'eau, véritable bombe à retardement.
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Item posted : 19-10-2015
La photo mascotte de notre 7ème édition
Le United Nations Relief and Works Agency (UNRWA) et l'Union Européenne organisent chaque année un concours de photographie ouvert à tous les réfugiés palestiniens âgés de 16 à 29 ans.
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Bande annonce du festival
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